Je te ferais des bois qui n'existent pas, des lettres qu'on ne saurait lire, des images dont les modeles n'ont jamais existe, toujours en l'air comme les oiseaux, enivre de soleil, causeur, chantant a tous les echos des appartement vides, ...ne sachant la veille ou l'on travaillera demain; toujours nouveaux compagnons et nouvelles figures, des bienvenues a tous les coins de rues...des connaissances a tous les etages et de bonnes journees toujours.
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Francois-Auguste Ledreuille
("discours d'un cordonnier resolu a quitter son etat pour celui de peintre" - Ranciere, Nuit des Proletaires)